Communiqués AESH

 AESH : violence, inclusion et retraite

 

Ce matin, dans un collège de l’académie de Metz, une collègue AESH a été violemment frappée par un élève dont elle assurait l’accompagnement.
Outre les conséquences physiques qu’elle a subies (traces de coup sur le visage et sur la tête), la collègue se retrouve dans un état de traumatisme que l’on peut facilement imaginer.
La CGT Éduc’action tient avant tout à exprimer toute sa solidarité envers la collègue.
Cet incident, certes isolé, est loin d’être mineur : se faire agresser en exerçant son métier ne doit pas être minimisé par la hiérarchie de l’Éducation nationale et ne doit pas être une fatalité. Les per- sonnels doivent pouvoir exercer leur mission sereinement et l’Institution en tant qu’employeur est dans l’obligation d’y veiller.
Cet événement illustre la carence institutionnelle

tract retraites AESH